Le 13 mai, un membre du comité de mobilisation avait rencontré le syndicat local de la FIQ pour lui expliquer les objectifs du comité et lui remettre l'ordre du jour de la première réunion qui a été affiché par la suite. Nous avons demandé la collaboration du syndicat,
Nous avons ensuite fait du travail de terrain en affichant notre ordre du jour et en distribuant notre appel à la mobilisation aux travailleurs de l'hôpital Verdun.
Le 24 mai, jour de la première réunion, les représentants syndicaux ont débarqué en force pour s'opposer à la création du comité de mobilisation, arguant que le syndicat est le seul représentant légal des employés. Ils nous accusaient aussi de vouloir imposer des moyens de pression, se prêtant ainsi à une interprétation libre de notre ordre du jour. La discussion entre travailleurs a été quasi impossible.
Le 25 mai, les ressources humaines ont contacté le comité de mobilisation pour leur dire que se réunir entre employés dans l'hôpital était illégal. Jusqu'à ce jour, donc une journée après la première réunion et une semaine après l'affichage de notre ordre du jour, l'administration n'avait pas réagi à la création du comité de mobilisation. Elle nous a servi exactement les mêmes arguments que le syndicat pour justifier cette interdiction, allant jusqu'à évoquer la loi sur le maraudage syndical.
Nous avons ensuite fait du travail de terrain en affichant notre ordre du jour et en distribuant notre appel à la mobilisation aux travailleurs de l'hôpital Verdun.
Le 24 mai, jour de la première réunion, les représentants syndicaux ont débarqué en force pour s'opposer à la création du comité de mobilisation, arguant que le syndicat est le seul représentant légal des employés. Ils nous accusaient aussi de vouloir imposer des moyens de pression, se prêtant ainsi à une interprétation libre de notre ordre du jour. La discussion entre travailleurs a été quasi impossible.
Le 25 mai, les ressources humaines ont contacté le comité de mobilisation pour leur dire que se réunir entre employés dans l'hôpital était illégal. Jusqu'à ce jour, donc une journée après la première réunion et une semaine après l'affichage de notre ordre du jour, l'administration n'avait pas réagi à la création du comité de mobilisation. Elle nous a servi exactement les mêmes arguments que le syndicat pour justifier cette interdiction, allant jusqu'à évoquer la loi sur le maraudage syndical.
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